Les indices annonciateurs du surdouement
L’entourage proche d’un enfant peut remarquer la présence simultanée d’un certain nombre d’indices annonciateurs de précocité intellectuelle dès son plus jeune âge. A partir de 3-4 ans, ces signes comportementaux ne peuvent être prédictifs qu’en prenant en compte leur fréquence à un âge inhabituel.
Par exemple, bien des enfants s’intéressent à la préhistoire, mais rarement à 3 ans ; bien des enfants ont le sens de l’humour, mais ils ne font pas des jeux de mots à l’âge de 4 ans ! Ils parlent souvent très tôt et très bien avec des phrases structurées et un vocabulaire choisi qui surprend.
Un décalage par rapport aux enfants de sa tranche d’âge concernant plus particulièrement :
la fulgurance des pensées, (passage du « coq » à l’âne )
la mémoire
le déficit de l’inhibition latente (décrochage attentionnel)
les difficultés à expliciter son cheminement intellectuel,
l’apparition de signes de souffrance, (tristesse, difficultés à l’endormissement, sommeil agité )
la perte d’estime de soi,
la multiplication de plaintes somatiques,
l’alternance entre phases de concentration et d’agitation
… etc…
la mémoire
le déficit de l’inhibition latente (décrochage attentionnel)
les difficultés à expliciter son cheminement intellectuel,
l’apparition de signes de souffrance, (tristesse, difficultés à l’endormissement, sommeil agité )
la perte d’estime de soi,
la multiplication de plaintes somatiques,
l’alternance entre phases de concentration et d’agitation
… etc…
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sont autant de signes qui peuvent être évocateurs d’une précocité.
sont autant de signes qui peuvent être évocateurs d’une précocité.
Les points communs et fréquents différenciant l’enfant intellectuellement précoce des autres enfants ont été référencés à différents stades de développement. Chez le tout petit (0-24 mois), chez l'enfant (2-10 ans) puis chez l’adolescent, on note des différences et décalages majeurs pour les centres d’intérêts, l’apprentissage, l’affectif, l’attitude et le comportement.
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